L'armée israélienne a annoncé le 13 novembre la mort de deux soldats au cours des combats dans la bande de Gaza, ce qui porte à 44 le nombre de ses militaires tués dans le territoire palestinien depuis le début de la guerre avec le Hamas.
Tsahal a rapporté le 13 novembre la mort de deux nouveaux soldats dans les combats dans la bande de Gaza. L’armée israélienne a perdu pour l’heure 44 militaires dans le territoire palestinien.
Israël frappe sans répit la bande de Gaza depuis l’attaque meurtrière menée sur son sol par le Hamas le 7 octobre, et mène en parallèle depuis le 27 octobre une opération terrestre dans le but «d’anéantir» le mouvement islamiste palestinien, au pouvoir dans le territoire.
Ce bilan de 44 concerne les soldats tués «dans la bande de Gaza pendant la guerre», a précisé un porte-parole de l’armée israélienne contacté par l’AFP.
Le Hamas a lancé une attaque sans précédent sur Israël, le 7 octobre, au cours de laquelle au moins 1 200 personnes sont mortes en Israël, en grande majorité des civils tués le jour de l’attaque, selon les autorités israéliennes. Israël a répondu en pilonnant la bande de Gaza, faisant 11 180 morts majoritairement des civils, incluant 4 609 enfants, selon le ministère de la Santé du Hamas.
Six soldats tués sur le front du nord
Dans le nord d’Israël, à la frontière libanaise, où les échanges de tirs entre l’armée israélienne et des groupes armés au Liban sont presque quotidiens depuis des semaines, au moins six soldats et deux civils sont morts côté israélien.
Les tirs israéliens, dont certains visent des cibles en Syrie, ont tué au moins 70 combattants du Hezbollah libanais depuis le début des hostilités, selon un décompte de l’AFP basé sur des déclarations du groupe libanais pro-iranien.
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